C’était la finale du junior B en Ontario. Benoît Groulx s’est déplacé pour voir un certain Paul Byron. 

L’attaquant des Golden Knights de West Ottawa a été dominant avec une récolte de huit points. Mais il était minuscule. 

«C’était un gamin de 5 pi 7 po et 132 lb, a raconté Marc-André Perreault lors de sa chronique à JiC, mercredi. Il avait une face de bébé.»

Quand l’architecte des Olympiques de Gatineau Charles Henry s’est rendu chez les Byron pour recruter Paul, c’est d’ailleurs un gamin qui lui a ouvert la porte.

«Est-ce que tu peux aller me chercher ton grand frère?», lui avait lancé Henry, sans savoir que le jeune homme devant lui était… Paul Byron.

Ce dernier n’était pas du tout prédestiné à jouer dans la LNH avec un tel gabarit. Mais sa détermination était inébranlable. 

«Benoît Groulx m’a confié qu’il n’a jamais vu un désir aussi fort de jouer dans la Ligue nationale», a souligné Perreault. 

Voyez sa chronique complète dans la vidéo ci-dessus.